
La réforme de la législation sur l'avortement proposée au Sri Lanka, bien qu'elle soit bien accueillie, révèle des dysfonctionnements profonds : la marginalisation des femmes dans le processus décisionnels, la réduction des droits reproductifs à une question médicale, ainsi que la stigmatisation tenace et l'emprise patriarcale sur les choix reproductifs.